Rallye Terre De Langres 2015 — Yves Klein Peinture De Feu Des
Vainqueur des quatre spéciales programmées aujourd'hui, Jean-Marie Cuoq (Citroën C4 WRC) n'a pas fait de... » Lire la suite
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Modifié par Rem74, samedi 13 juin 2015 à 08:59. #106 Posté samedi 13 juin 2015 à 09:38 L'aprem il en manquait un paquet, Berfa (du a la bosse sur il me l'a dit en demandant ses passages) Blanc, Mouret, Gascou, Toedtli et je pense que pour certains des abandons mecanique que la bosse y est pour quelque chose vu la réception sur la partie moteur.
REACTIONS DES PILOTES (FFSA) Jean-Marie Cuoq: « C'est génial, on a eu une super météo et on a pu rouler dans de bonnes conditions. Les organisateurs nous ont proposé un parcours quasiment neuf, ce qui nous oblige à faire attention au premier tour avant de se lâcher dans le second. Avant chaque départ de rallye, les compteurs sont à zéro, c'est donc une bonne opération pour moi au Championnat. » Lionel Baud: « Je suis content de cette deuxième place. Rallye Terre de Langres - Haute Marne 2015 - 26/28 juin [CFT] - Page 6 - Championnat de France - Forum-Rallye. On a pu constater que sur un terrain glissant, la Fiesta pouvait faire jeu égal avec la C4, mais sur un terrain plus sec, cette dernière fait la différence. Mais c'est intéressant car nous avons encore une marge de progression. » Cyrille Féraud: « C'est mon premier podium en rallye. J'ai bien profité de l'avant dernière spéciale pour comprendre encore mieux la Xsara mais dans la dernière, j'ai assuré pour être sûr de monter sur le podium. » Jean-Paul Monnin: « Dans la dernière boucle, j'ai essayé de rouler vite sans faire de faute. Je perds le podium de la 208 Rally Cup pour trois dixièmes, mais cela reste tout de même une bonne opération, car je gagne la manche du Championnat Deux Roues Motrices.
Si tout ce qui change lentement s'explique par la vie, tout ce qui change vite s'explique par le feu. » Son travail sur cet élément est en effet étroitement articulé à la question du temps, avec, en 1957, Feu de Bengale: Tableau de feu bleu d'une minute (M41), soit seize feux de Bengale fichés sur une toile bleue puis incendiés, ou encore, en 1961-1962, ces cartons enduits d'amiante pour retarder la combustion. Avec ce matériau, le peintre niçois multiplie les expériences, il attaque la toile à l'aide de chalumeaux ou de torches, comme s'il cherchait paradoxalement dans la destruction les ressources d'une création inédite. Yves Klein, Peinture de feu Couleur Sans Titre (FC 17), 1962, pigment pur et résine synthétique sur carton brûlé, 106 x 94 cm, Humlebaek, Louisiana Museum of Modern Art ©Succession Yves Klein c/o Paris 2020 ©Adagp, Paris, 2020 En 1962, Yves Klein décède brutalement à l'âge de 34 ans, laissant derrière lui un grand… vide.
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Après l'édition d'une série de gravures sous forme de rectangles monochromes, il présente ses premières peintures à la galerie Colette Allendy en 1956. Klein réalise alors que les panneaux colorés, par leur diversité de teintes, recréent dans l'œil du spectateur une « polychromie décorative ». Cette prise de conscience débouche, dès l'année suivante, sur les monochromes bleus, dans lesquels se dessine, selon lui, « l'espace pur ». L'identification spirituelle avec ce geste pictural est telle que l'artiste se présente bientôt sous le nom d'Yves le Monochrome. Yves Klein, Do-Do-Do (RE 16), 1960 Pigment pur et résine synthétique, éponges naturelles et cailloux sur panneau, 199 x 165 x 18 cm © Succession Yves Klein c/o ADAGP, Paris, 2020 Exposition en bleu majeur La couleur pure, seule, lui permet de voir « ce que l'absolu avait de visible ». Mais bientôt, Klein élargit sa recherche à l'espace réel. L'exposition à la galerie Iris Clert en avril 1958 constitue, de ce point de vue, un moment fondateur.
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Et ce sont ces peintures de flammes, d'eau et de corps vivants rehaussées de son bleu qu'il brevetât, et qui sont ses ultimes créations, auxquelles introduisent les propos qui suivent. « Mon but est d'extraire et d'obtenir la trace de l'immédiat dans les objets naturels »: les flammes sont ce phénomène immédiat qui fera trace sur un support. Le tableau qui en résulte n'est pas une forme esthétique mais la mémoire vivante aux couleurs mordorées d'un acte artistique. L'omniprésente beauté précède l'acte de création qui ne se manifeste que pour la faire valoir dans le visible. En 1961, Yves Klein engendra en une journée harassante ses peintures de feu au centre d'essais de Gaz de France de la Plaine-Saint-Denis à l'aide d'un lance-flamme industriel de 40kg, dont on lui avait instruit des rudiments pour maîtriser la flamme de plusieurs mètres et les réglages de puissance calorifique. En guise de toile, le support était un carton suédois aux fortes qualités de résistance à la combustion. Chaque tableau était saisi en quelques minutes intenses où quelques secondes de trop l'auraient réduit en cendres, malgré le pompier à ses côtés l'arrosant continument au jet tandis que Klein l'embrasait avec une présence, une concentration et un engagement entiers, de tout son être arc-bouté à l'art voué.
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Dans son Manifeste de l'hôtel Chelsea, Yves Klein décrivait l'artiste du futur comme celui qui parviendrait à réaliser une peinture « à laquelle manquerait toute notion de dimension ». On en fait l'expérience fascinante avec les seize Peintures de feu, toutes issues de collections particulières, réunies par la Galerie de France. Elles évoquent tout autant l'infiniment grand et l'infiniment petit, la naissance d'une étoile ou la fraction d'un atome. En 1961, le centre d'essai de Gaz de France de la Plaine Saint-Denis permet à Yves Klein de réaliser ces travaux en maniant une nouvelle sorte de pinceau vivant: des flammes de gaz très puissantes allant de trois à quatre mètres de hauteur avec lesquelles il caresse ou craquelle la surface de cartons suédois, choisis en raison de leur résistance plus importante à la combustion. Difficile d'imaginer pinceau plus idéal, symbole de pureté, pour celui à qui « il ne viendrait même pas à l'idée de se salir les mains avec de la peinture ». Klein enregistre le passage de la flamme sur le support, parfois doux et caressant, parfois violent et destructeur.
La première a été réalisée en 1957, dans le jardin de la Galerie Colette Allendy à Paris, le jour de l'inauguration des Propositions monochromes. Les Sculptures Éponges sont conçues comme des portraits de visiteurs trempés dans des pigments, pour illustrer le concept de transmission de la sensibilité artistique. L'un des éléments préférés de l'artiste est l'or, utilisé comme support conduisant à l'absolu. L'exposition « La spécialisation de la sensibilité à l'état de matière première en sensibilité picturale stabilisée » à la Galerie Iris Clert en 1958 (pour laquelle il vide complètement la galerie parisienne), ainsi que la vente des Zones de sensibilité picturale immatérielles (payées avec de petits lingots d'or dont la moitié est jetée dans la Seine), amènent son art à s'ouvrir à l'immatériel. En développant ses recherches sur les éléments fondamentaux (air, eau, feu), Klein définit une « architecture de l'air » et expose ses principes en juin 1959 dans une conférence à la Sorbonne. Il est aussi l'un des précurseurs du happening, grâce à la performance publique des anthropométries, ou du Saut dans le vide.