Paroles Les Roses Blanches
- 3 - La marchande émue, doucement lui dit: Emporte-les, va je te les donne Elle l'embrassa et l'enfant partit Tout rayonnant qu'on le pardonne Puis à l'hôpital il va en courant Pour offrir les fleurs à sa mère Mais en le voyant, une infirmière Tout bas lui dit:" Tu n'as plus de maman" Et le gamin s'agenouillant dit, Devant le petit lit blanc... Toi qui les aimais tant! Et quand tu t'en iras Au grand jardin, là-bas Toutes ces roses blanches Tu les emporteras. Paroles: Berthe Sylva
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Paroles Les Roses Blanches Colombes
Paroles de Charles louis POTHIER Musique de Leon RAITER © LES NOUVELLES EDITIONS MERIDIAN - 1926 Paroles de la chanson Les Roses Blanches par Berthe Sylva C'était un gamin, un goss' de Paris, Sa seul' famille était sa mère. Une pauvre fille aux grands yeux flétris Par les chagrins et la misère. Elle aimait les fleurs, les roses surtout, Et le cher bambin, le dimanche Lui apportait des roses blanches Au lieu d'acheter des joujoux. La câlinant bien tendrement, il disait en les lui donnant: C'est aujourd'hui dimanche Tiens, ma jolie maman, Voici des roses blanches, Que ton coeur aime tant Va, quand je serai grand J'achèt'rai au marchand Toutes ses roses blanches Pour toi, jolie maman.... Au dernier printemps le destin brutal Vint frapper la blonde ouvrière, Elle tomba malade, et pour l'hôpital Le gamin vit partir sa mère. Un matin d'avril, parmi les prom'neurs N'ayant plus un sou dans sa poche Sur un marché, tout tremblant le pauv' mioche Furtiv'ment vola quelques fleurs La fleuriste l'ayant surpris, En baissant la tête il lui dit: Et j'allais voir maman J'ai pris ces roses blanches elle les aime tant Sur son petit lit blanc là-bas elle m'attend, J'ai pris ces roses blanches Pour ma jolie maman.
Paroles Les Roses Blanches Berthe Sylva
Et quand tu t'en iras Au grand jardin là-bas Ces belles roses blanches tu les emporteras!
Paroles Les Roses Blanches Par Tino Rossi
- 3 - La marchande émue, doucement lui dit: Emporte-les, je te les donne Elle l'embrassa et l'enfant partit Tout rayonnant qu'on le pardonne Puis à l'hôpital il vint en courant Pour offrir les fleurs à sa mère Mais en le voyant, tout bas une infirmière Lui dit: Tu n'as plus de maman Et le gamin s'agenouillant Dit, devant le petit lit blanc... Toi qui les aimais tant! Et quand tu t'en iras Au grand jardin, là-bas Toutes ces roses blanches Tu les emporteras. -------------------- Ch. L. Pothier - Léon Raiter Interprète: Berthe Sylva (1926) --------------------
), Mémoire de la chanson: 1100 chansons du Moyen Age à 1919, Omnibus, 1998 ( ISBN 2-258-05062-6) ( 2 e éd. en 2001) Notes [ modifier | modifier le code]