Anthologie Poétique Sur La Nourriture - Commentaire De Texte - Alronax
Ponge "Le Morceau de viande", parcours alchimie poétique, vidéo n°1 - YouTube
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- Bonsoir, pourriez vous m’aider à faire un commentaire littéraire sur Le Morceau de Viande de Francis Ponge ? Merci :)
- Le Morceau de Viande, Francis Ponge
Ponge &Quot;Le Morceau De Viande&Quot;, Parcours Alchimie Poétique, Vidéo N°1 - Youtube
Problématique: Comment dans ce poème agissent les transformations et les métamorphoses sur le "Morceau de Viande" et comment ces transformations symbolisent, par analogie, celles que le poète fait subir aux mots lorsqu'il crée de la poésie. Découpage du texte: Comment le titre installe le lecteur dans une lecture polysémique Le "devenir-usine" du Morceau de Viande: une première transformation La cuisson: une seconde transformation La corruption, la dégradation et l'oubli: une troisième transformation, qui clôture une espèce de cycle, qui peut correspondre au cycle de vie du poème Commentaire: Le début du texte à l'allure d'une définition: "Chaque morceau est (... Le Morceau de Viande, Francis Ponge. )". Le poète utilise le présent de vérité générale. Le ton est curieusement didactique. Le contenu de la "définition", en revanche, est totalement inattendu: " une sorte d'usine". Impression de bizarrerie produite par l'association de la chair (" morceau de viande ") avec un objet de grande taille au fonctionnement complexe: L'usine est également une espèce d'univers autonome où le poète rencontre une collection d'objets, de machines: on y trouve des " machines ", des "pressoirs à sang", qui peuvent représenter métaphoriquement les organes du corps humain en particulier "pressoirs à sang", périphrase qui peut évoquer le coeur.
Bonsoir, Pourriez Vous M’aider À Faire Un Commentaire Littéraire Sur Le Morceau De Viande De Francis Ponge ? Merci :)
Méthode commentaire Méthode dissertation pourriez-vous m'aider? je dois faire un commentaire litteraire sur le "morceau de viande" de F. Ponge est ce que quelqu'un pourrait me donner des pistes? j'ai fait une analyse linéaire mais le tout reste un peu hermetique je ne saisi pas la portée symbolique du texte Réponses Chaque morceau de viande est une sorte d'usine, moulins et pressoirs à sang. Tubulures, hauts fourneaux, cuves y voisinent avec les marteaux-pilons, les coussins de graisse. La vapeur y jaillit, bouillante. Des feux sombres ou clairs rougeoient. des ruisseaux à ciel ouvert charrient des scories avec le fiel. Et tout cela refroidit lentement à la nuit, à la mort. Aussitôt, sinon la rouille, du moins d'autres réactions chimiques se produisent, qui dégagent des odeurs pestilentielles (, Le parti pris des choses) Bonsoir, Remarque d'abord que le texte est bâti sur une opposition: monde animal, monde végétal. Ponge "Le Morceau de viande", parcours alchimie poétique, vidéo n°1 - YouTube. Je crois que j'ai fait une erreur de copier-coller... Je ne pense pas que la seconde partie de ce que j'ai collé concerne le poème sur la viande.
Le Morceau De Viande, Francis Ponge
Chaque morceau de viande est une sorte d'usine, moulins et pressoirs sang. Tubulures, hauts fourneaux, cuves y voisinent avec les marteaux-pilons, les coussins de graisse. La vapeur y jaillit, bouillante. Des feux sombres ou clairs rougeoient. Des ruisseaux ciel ouvert charrient des scories avec le fiel. Et tout cela refroidit lentement la nuit, la mort. Aussitt, sinon la rouille, du moins d'autres ractions chimiques se produisent, qui dgagent des odeurs pestilentielles. © WikiPoemes - Droits de reproduction et de diffusion réservés.
Il montre l'effort fourni pour en créer un à l'époque « le front courbé, le coude en pointe hors des manches ». Le poète a réussi à rendre cet effort humain fascinant et à l'embellir « leur corps entier fûmait de hâte » J'ai associé ce poème à l'oeuvre de Jean François Millet qui a peint une femme faisant cuire du pain, d'où son nom: « femme cuisson pain ». Il représente parfaitement le poème puisque cette femme exécute un effort en créant son pain. On y voit aussi le four décrit dans le poème « dans le ventre des fours ». Le second poème se nomme « l'ode à la salade » écrit par Pierre de Ronsard. Il est extrait du premier livre des odes paru en 1550. J'ai choisis ce poème car il montre l'évolution des mots. En effet, au XVIème siècle, la salade désignait toutes sortes d'herbes. Il ne parle donc pas du légumes comme nous l'entendons nous. Il désigne malgré cela ces herbes comme des végétaux fragiles « la responsette à la racine si douce ». Il demande même à une personne pour l'aider à les ramasser « lève ta main ».