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Diaspora [ modifier | modifier le code] Notes et références [ modifier | modifier le code] Notes [ modifier | modifier le code] ↑ hors métis. ↑ Dans sa définition du XVIII e siècle. Références [ modifier | modifier le code] ↑ ↑ Brunet Latin, Trésor, éd. F. J. Carmody, 1948. ↑ a b c d et e François-Marie de Marsy, Histoire moderne des Chinois, des Japponois, des Indiens, etc., tome 3, Paris, Desaint et Saillant, 1765. Voir aussi [ modifier | modifier le code] Articles connexes [ modifier | modifier le code] Démographie de l'Inde Liens externes [ modifier | modifier le code]
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On sait que la disparition de tribus entières a été causée par la variole (petite vérole) arrivée par bateau depuis l'Europe, mais on sait moins que beaucoup d'autres maladies développée avant l'arrivée des Blancs ont contribué à cette catastrophe humanitaire et démographique. Par exemple, la syphillis a été transmise aux Blancs par les Indiens, elle n'existait pas auparavant sous la forme que l'on connaît aujourd'hui. Les spécialistes des Indiens ont prouvé que les conditions de vie chez les Indiens étaient très mauvaises et que leur espérance de vie était faible (voir Les Indiens des plaines, Yves Berger/Daniel Dubois, éditions du Rocher, 2000). De plus, les maladies développées en interne ont été décisives dans la chute démographique indienne. Enfin, les colons n'ont pas "amené" la variole, ils l'ont véhiculée sur eux et s'en seraient bien passés. Quatre millions de gens dans le monde mouraient de la variole au moment où elle atteignait l'Amérique, et cela a foudroyé les tribus. Suite aux accusations lancées par Ward Churchill, un professeur d'extrême gauche (qui compare les victimes du 11-Septembre à des nazis), et au livre écrit par un Hawaïen, des professeurs d'histoire américains ont cherché à déterminer si les Occidentaux avaient donné des couvertures infectées de variole à des Indiens.
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Réception [ modifier | modifier le code] Le roman est accueilli très favorablement par Michiko Kakutani, du New York Times, qui y voit « le récit déchirant de la perte d'une innocence et de rêves brisés, […] dès à présent à ranger, au côté de Beloved, parmi les écrits les plus obsédants de Toni Morrison à ce jour. », et par John Updike du New Yorker [ 6]. Bibliographie sélective [ modifier | modifier le code] Une abondante littérature universitaire a analysé Un don; Google scholar recense plus de 2 500 articles ou ouvrages avec cette entrée. Ne figurent ici que les plus cités (plus de 20 fois) (en) Geneva Cobb Moore, « A Demonic Parody: Toni Morrison's "A Mercy" », The Southern Literary Journal, vol. 44, n o 1, 2011, p. 1–18 ( ISSN 0038-4291, lire en ligne). (en) Valerie Babb, « E Pluribus Unum? : The American Origins Narrative in Toni Morrison's A Mercy », MELUS: Multi-Ethnic Literature of the U. S., vol. 36, n o 2, 2011, p. 147–164 ( ISSN 1946-3170, DOI 10. 1353/mel. 2011. 0027, lire en ligne) (en) La Vinia Delois Jennings, « "A Mercy": Toni Morrison Plots the Formation of Racial Slavery in Seventeenth-Century America », Callaloo, vol.
», sur Les Inrockuptibles, 20 juillet 2020 (consulté le 19 février 2021) ↑ « Un don », sur France Culture (consulté le 19 février 2021) Portail de la littérature américaine