Francis Ponge, Le Pain - Commentaire De Texte - Bhubert - Les Cloches De Notre Dame Paroles
Sur des tringles, sur les accoudoirs de la fenêtre la pluie court horizontalement tandis que sur la face inférieure des mêmes obstacles elle se suspend en berlingots convexes. Selon la surface entière d'un petit toit de zinc que le regard surplombe elle ruisselle en nappe très mince, moirée à cause de courants très variés par les imperceptibles ondulations et bosses de la couverture. De la gouttière attenante où elle coule avec la contention d'un ruisseau creux sans grande pente, elle choit tout à coup en un filet parfaitement vertical, assez grossièrement tressé, jusqu'au sol où elle se brise et rejaillit en aiguillettes brillantes. Chacune de ses formes a une allure particulière: il y répond un bruit particulier. Francis ponge bac français http. Le tout vit avec intensité comme un mécanisme compliqué, aussi précis que hasardeux, comme une horlogerie dont le ressort est la pesanteur d'une masse donnée de vapeur en précipitation. La sonnerie au sol des filets verticaux, le glou-glou des gouttières, les minuscules coups de gong se multiplient et résonnent à la fois en un concert sans monotonie, non sans délicatesse.
- Francis ponge bac français 2013
- Les cloches de notre dame paroles
- Les cloches de notre dame paroles et clip
Francis Ponge Bac Français 2013
C. L'huître ouverte. Antithèse: intérieur mou, visqueu, aquatique ( champ lexical du liquide) / extérieur dur. Une seule grande phrase qui créée l' ampleur de la mer. L'intérieur est décrit comme un monde à part ("monde", "firmament") Présence de 2 octosyllabes et 2 alexandrins qui donnent un rythme armonieux. Francis Ponge, Le parti pris des choses - Le cageot. Transition: Ponge nous décrit l'huître sous toutes ses formes à travers notamment son regard. Il met volontairement l'Homme de côté dans cette description et se contente de le sous-entendre. II - Présence - Absence de l'homme dans le poème Dans le poème, l'Homme est relégué, non nommé, le titre du poème désigne d'ailleurs un objet. A. Où est la présence de l'Homme? L'homme est suggéré à travers le " on " ("homo" en latin). Les actions humaines sont aussi suggérées: "doigts"-"ongles"-"torchon". L'homme est présent en filigrane (en transparence) Le vocabulaire est emprunté à celui de l'humain: "peu franc" (vocabulaire morale en fait qui désigne aussi l'homme = connotation péjorative) - "doigt curieux" (une qualité qu'il veut donner à l'homme).
[ARCHIDIACRE, parlé] Élevez cet enfant, tout comme s'il était le vôtre [FROLLO, parlé] Quoi? Que je m'embarrasse de cette créature difforme? C'est entendu. Mais je veux qu'il vive ici dans votre église [ARCHIDIACRE, parlé] Dans l'église? Mais où? [FROLLO, parlé] Peu m'importe (chanté) Soigneusement cloîtré pour le soustraire à tout regard (parlé) Dans un des clochers, pourquoi pas, et qui sait? Les voies du Seigneur sont impénétrables à ce qu'on dit (chanté) Qui sait un jour peut-être même ce monstre me sera-t-il Utile, amen [CLOPIN, parlé] Ainsi Frollo donna à l'enfant un nom horrible. Un nom qui voulait dire "À demi formé": Quasimodo (chanté) Voici donc le mystère qui se cache derrière les cloches de Notre-Dame Qui est le monstre et qui est l'humain? [CLOPIN & Chœur] Sonnent les cloches sonnent, sonnent, sonnent Sonnent, sonnent, sonnent, sonnent Les cloches de Notre-Dame
Les Cloches De Notre Dame Paroles
très bien... mais qu'il reste caché dans votre église!! -dans l'église? mais où? -peu m'importe, Enfermez le quelque part à l'abri des regards!! " Au sommet des tours peut-être, qui sait les voix du seigneur son impénétrables!! " Cette créature pourrait si le ciel le veut bien servir demain!!! "- Et Frollo affubla l'enfant d'un nom horrible, un nom qui veut dire difforme!! Quasimodo!! " Quand les cloches sonnent, les cloches questionnent dans les tours de Notre Dame!! L'homme est il un monstre ou le monstre un homme!! Et les cloches sonnent, sonnent, sonnent, sonnent, sonnent, sonnent, sonnent, sonnent!!! A Notre Dame!! !
Les Cloches De Notre Dame Paroles Et Clip
(Clocher, photo:) Une fois la porte franchie, on découvre dix oculi, des vitraux circulaires qui illustrent les paroles du Christ. Le bleu turquoise est tout particulièrement époustouflant. Certains d'entre eux comme l'Ascension du prophète sont à la limite de l'abstraction, en effet, seuls les pieds sont encore visibles, le reste n'est que formes géométriques. (Oculi de l'Ascension, par Louis Barillet, photo:) Enfin, le chœur aujourd'hui éclairé à l'électricité était autrefois illuminé par une lumière zénithale. Une impressionnante toile marouflée dernière le maître-autel, à la facture mi-pointilliste mi-baroque, nous laisse imaginer l'influence du Greco sur l'artiste, Jean Bernard. Cette inspiration espagnole fait peut-être écho à la rencontre entre le saint de Padoue et le patron des franciscains en Espagne? En effet, le prêtre très attaché à la spiritualité franciscaine a activement contribué au projet de l'église que ce soit pour les décors ou les sculptures. (Choeur de l'église, photo:) Notre-Dame-de-la-Salette.
Nous avons rejoint la seconde église en traversant le parc Georges Brassens où comme nous informait le guide, ce square tenait autrefois lieu d'abattoir. Deux grands bœufs surmontent ainsi l'entrée tandis qu'au milieu du parc, un bâtiment témoigne par son inscription sur sa façade, des "ventes à la criée". Cette église post-concilienne renoue par son plan et son architecture avec les églises primitives. En effet, son plan circulaire fait échos aux chapelles byzantines de Ravenne ou de Rome. Contrairement à Notre-Dame de l'Assomption du Faubourg Saint-Honoré. Son plan n'est pas inscrit dans un carré, mais dans un cercle, tous les éléments convergents ainsi vers son centre. (Extérieur de l'église, photo: Wikipedia) À l'entrée le vantail de gauche sculpté dans du bois représente l'apparition de la Salette aux deux bergères, tandis que, l'autre côté illustre un Christ en croix. L'espace interne est couronné par une coupole digne de celle du Panthéon de Rome. Une percée de verre zèbre de concert avec les vitraux des murs latéraux, les sièges des fidèles disposés au centre.