La digue de Pors-Boulous où trois membres d'une famille ont été emportés par une vague, le 20 mai 2022 à Plogoff, dans le Finistère / AFP Une lame a soudain emporté les trois personnes sur la digue. "Ils ont été emportés vers le large", a expliqué le directeur de cabinet. Des témoins ont immédiatement prévenu les secours et d'importants moyens ont été déployés, notamment trois hélicoptères, ainsi que des moyens de la SNSM (secours en mer) et des pompiers. Des marins-pêcheurs sont également venus prêter main forte, notamment pour rechercher le corps du jeune garçon, a relevé M. Foltz. Vif espace famille plus. Il n'y a "pas d'explication" à un tel drame pour le moment, pas de raison météo majeure, a-t-il commenté. En raison des grandes marées du début de semaine, les coefficients de marée, en décrue, étaient encore élevés (90). La famille vivait à Audierne, non loin de là, selon M. La digue de Pors-Boulous où trois membres d'une famille ont été emportés par une vague, le 20 mai 2022 à Plogoff, dans le Finistère / AFP Une enquête devrait être ouverte vendredi et les témoins seront entendus, a-t-il ajouté.
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"Je sens l'avion qui commence à descendre et je commence à sentir des turbulences, mais personne ne réagit plus que ça, donc je me dis que ça doit être normal", raconte-t-elle. Puis, "je sens comme une décharge électrique dans tout mon corps", dit-elle. "J'ai un trou noir entre le moment où j'étais assise dans l'avion et le moment où je me retrouve dans l'eau". - "Goût de kérosène" - Serrés sur les bancs de la salle d'audience, plus d'une centaine de parties civiles l'écoutent en silence. Mon Espace Famille - Propulsé par Saytup. Débris de l'avion de la compagnie Yemenia, qui s'est abîmé en mer en 2009 au large des Comores, le 16 septembre 2009 / AFP/Archives Dans les vagues, "en face de moi, je vois trois débris, j'agrippe le plus grand en essayant de monter dessus mais je n'y arrive pas", poursuit Bahia Bakari, les cheveux noirs rassemblés en chignon, en chemise et pantalon blancs. "Je prends conscience de voix qui appellent à l'aide en comorien, je crie mais un peu sans espoir, parce que je réalise bien qu'il n'y a que la mer autour de moi et que je ne vois personne".