Le Don D Organe Texte Argumentatif
PasseportSanté Diaporama Pourquoi faut-il parler du don d'organes? Le don d'organes consiste à greffer un organe d'une personne à une autre. Appelé aussi transplantation, la greffe d'organe permet de remplacer des organes vitaux défaillants. Cela permet aux personnes greffées de retrouver une existence quasi normale. Le greffon (= organe prélevé puis greffé) est habituellement prélevé sur des donneurs en état de mort cérébrale. Dans ce cas de figure, les fonctions vitales du donneur sont maintenues par l'équipe médicale le temps de prélever les différents organes. De nombreux organes et tissus peuvent être greffés au(x) receveur(s) comme le cœur, les poumons, le foie, les reins, la peau, la cornée, etc. Le don d'organes permet ainsi de venir en aide à un grand nombre de personnes en attente de greffe. Certains prélèvements se font aussi sur des personnes de leur vivant (= le don du vivant), la plupart du temps pour venir en aide à un membre de sa famille. Parmi les organes qui peuvent être prélevés, on retrouve le rein, la peau, la moelle osseuse, les fragments osseux et exceptionnellement une partie du foie ou du poumon.
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Ce que disent les détracteurs de l'initiative Le consentement présumé nationalise le don d'organes, alors qu'il s'agit d'une question très personnelle. L'État n'a pas à s'immiscer dans le domaine du don d'organes. Notre contre-argument Le consentement présumé garantit la liberté de décision de chacun, peu importe qu'il soit pour ou contre le don d'organes. Avant l'entrée en vigueur de la loi fédérale sur la transplantation, le consentement présumé était pratiqué dans 17 cantons suisses. Ce système s'est en outre établi aujourd'hui dans presque tous les pays d'Europe centrale et de l'Ouest. Les coûts de santé s'envoleront en cas d'augmentation des dons d'organes, car les transplantations sont des interventions très coûteuses. Un don d'organes est un investissement dans la qualité de vie. Les traitements médicaux sont effectués s'ils entraînent une nette amélioration de la qualité de vie du patient. Les transplantations de reins, par exemple, qui représentaient en 2017 environ 60 pour cent de toutes les transplantations réalisées en Suisse, sont en outre nettement plus avantageuses que les dialyses à long terme.
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Par exemple, une personne souffrant d'insuffisance rénale a besoin de dialyses hebdomadaires, une technique contraignante et très lourde. La dialyse permet de remplacer le travail du rein en filtrant le sang mais ne remplace jamais totalement le rein. A ne pas confondre Le don d'organes et le don de son corps à la science ne sont pas liés. Le don de son corps à la science permet à la médecine et aux chercheurs d'avancer dans leurs travaux de recherches. Le don d'organes sert lui à sauver des vies ou à soigner des personnes malades. En France le don d'organe est pris en charge par les hôpitaux réalisant les transplantations. La famille de la victime n'a donc à se soucier de rien. Dites le autour de vous En France, si vous souhaitez être donneur d'organes, parlez-en à vos proches. Premièrement, cela évitera à votre famille de prendre cette décision à votre place. De plus, cela vous permettra de faire entendre votre voix. Vous pourrez par exemple préciser si vous souhaitez que l'un de vos organes ne soit pas prélevé.
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En France, par exemple, le don d'organes doit être anonyme et gratuit. La loi Lafay du 7 juillet 1949 stipulait qu'une cornée ne pouvait être prélevée sur une personne décédée que si elle y avait consenti de son vivant. La loi Caillavet du 22 décembre 1976 est plus générale et beaucoup plus favorable à la transplantation: selon le texte, « les prélèvements peuvent être effectués sur une personne qui n'a pas fait connaître, de son vivant, son refus »; dans la pratique, les choses se passaient différemment dans la mesure où les médecins demandaient l'autorisation de la famille, qui bien souvent la leur refusait. Depuis juillet 1994, et l'abrogation des lois Lafay et Caillavet, cette demande est obligatoire, mais les parents refusent, dans la plupart des cas, leur autorisation. En 1992, des textes de loi sur la bioéthique, prenant en considération les problèmes soulevés par le prélèvement d'organes, ont été élaborés par l'Assemblée nationale; ils ont été adoptés en 1994. L'autorisation de prélèvement L'autorisation de prélèvement devient implicite si la personne n'a pas exprimé son refus de son vivant (refus mentionné sur un registre informatique ou inscrit sur une carte) ou si sa volonté, exprimée à travers le témoignage de sa famille, ne s'y oppose pas.