Quartier Rouge D'Amsterdam - Qu'Est-Ce Que Le Quartier Rouge
Boissons offertes par la maison en contrepartie de dons pour aider à financer le centre. Ouvert du mardi au samedi de midi à 19 heures. Musée du Sexe (Venustempel) 18 Damrak Vous y découvrirez une importante collection dédiée à l'art et l'érotisme à travers l'histoire, ainsi que d'autres expositions et attractions. L'impressionnante collection comprend toutes sortes de gravures, de manuscrits, d'objets, de photographies et d'enregistrements érotiques, et même des cabines matelassées où sont visionnés des films pornos, ainsi qu'une galerie de fétiches sexuels alternatifs. Très informatif et très explicite. Peut en choquer certains. Musée érotique 54 Oudezijds Achterburgwal. Un musée consacré à l'histoire artistique et à l'universalité de l'érotisme. Le Musée érotique est l'essence même du Quartier rouge. Cinq étages de régal coquin et une collection d'art érotique en provenance du monde entier. Coronavirus: Amsterdam et Rotterdam imposent le port du masque. Musée du Haschisch et de la Marijuana 148 Oudezijds Achterburgwal. Contigu et appartenant à la boutique de graines Sensi Seeds Bank, ce petit musée retrace l'histoire du cannabis, ses aspects, sa production, son rôle, etc. Vous y découvrirez également un petit espace de culture en lumière artificielle.
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Toutes les chambres privées sont équipées d'une salle de bain pour assurer l'hygiène des travailleuses. Une barre de pole dance dans l'une des chambres de la maison close Amsterdam. Un lit rond dans l'une des chambres du strip et sex-club de Bonton. Stip et Sex Club Bonton sur Google Map Informations à propos du Tour de Bonton Veuillez noter qu'il faut vous présenter à l'avance. Adresse: Stripclub Bonton Stadhouderskade 64 1072AD Amsterdam 00316-47215253 Avis sur le strip et sex-club Bonton à Amsterdam Nous sommes toujours intéressés en ce qui concerne les expériences de nos visiteurs. Rotterdam quartier rouge et. Dites-nous ce que vous en avez pensé et aidez les autres voyageurs! No reviews found
Une initiative du consulat général de France d'Amsterdam, interpellé par le nombre de surdoses en 1994: sur la trentaine de décès de toxicos enregistrés à Rotterdam, 21 concernaient des Français. Pour 1995, ce chiffre devrait être en régression. Bernard Laparlière ne semble guère se faire d'illusions, car il sait bien que ce ne sont pas les 16 rapatriements opérés depuis juin 1995 qui pourront apaiser le courroux néerlandais envers les administrés d'un président Chirac, considéré comme un pourfendeur «hypocrite» de la tolérante politique batave en matière de drogues.