Diedendorf. Mobilisation Pour La Journée Citoyenne
Candidate pour la Nupes sur la 9e circonscription, elle a inauguré son local de campagne ce samedi 21 mai au matin, rue Sadi-Carnot. Diedendorf. Mobilisation pour la journée citoyenne. À 44 ans, Nadia Belaouni est une femme, plus que convaincue, intrinsèquement et intimement persuadée par les combats qu'elle mène depuis des années. Entourée de camarades du PS, du PC, d'écologistes et autres militants, notamment Claude Barral, ancien maire de Lunel et conseiller départemental, la candidate aux législatives de la Nouvelle union populaire écologique et sociale (Nupes) sur la 9e circonscription n'a pas mâché ses mots lors de l'inauguration de son local de campagne, ce samedi matin 21 mai, au 81 rue Sadi-Carnot. Sur le territoire depuis des années Dans son discours, cette mère de famille de deux enfants, originaire de Casablanca et arrivée en France à 21 ans, a clairement identifié ses valeurs et ses actions. "Notre démarche est avant tout celle de rendre le pouvoir au peuple car seul le peuple est souverain, assurait-elle devant la soixantaine de personnes présente.
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Mais il faut que le juge intervienne", a pointé la ministre, qui a ensuite repris les éléments de langage de la Première ministre et de la porte-parole du gouvernement, Olivia Grégoire. Discours du maire 14 juillet 2012. "Nous lutterons toujours contre les violences sexuelles et sexistes, c'est une des priorités du quinquennat", a noté la macroniste. "Aujourd'hui, il y a une plainte qui a été classée sans suite, deux fois, et de l'autre côté il y a une deuxième femme qui témoigne qui n'a pas porté plainte. Donc je crois qu'il faut laisser le juge faire son travail et pour le faire, il faut qu'il ait la matière et donc une plainte ", a-t-elle clarifié pour les téléspectateurs, en mettant l'accent sur la volonté du gouvernement de n'accorder aucune impunité aux agresseurs sexuels, "quel que soit leur statut". Crédits photos: Capture d'écran / BFMTV Article contenant une vidéo Article contenant une vidéo
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La fin d'un long suspense. Vingt-six jours après la réélection d'Emmanuel Macron, et quatre jours après la nomination d'Elisabeth Borne au poste de Première ministre, le secrétaire général de l'Elysée Alexis Kohler a dévoilé, ce vendredi 20 mai, sur le perron de l'Elysée, la composition du nouveau gouvernement qui succède à celui de Jean Castex. > Regardez la liste complète des membres du gouvernement Borne: La suite après la publicité Le visionnage de cette vidéo est susceptible d'entraîner un dépôt de cookies de la part de l'opérateur de la plate-forme vidéo vers laquelle vous serez dirigé(e). Compte-tenu du refus du dépôt de cookies que vous avez exprimé, afin de respecter votre choix, nous avons bloqué la lecture de cette vidéo. Discours du maire 14 juillet date. Si vous souhaitez continuer et lire la vidéo, vous devez nous donner votre accord en cliquant sur le bouton ci-dessous. Le premier gouvernement Borne comporte 27 membres: 17 ministres, 6 ministres délégués et 4 secrétaires d'Etat. 14 hommes et 13 femmes ont été nommés.
Discours Du Maire 14 Juillet 2012
On travaille bien". Et la collaboration pourrait se poursuivre, puisque la ministre " sera du combat des législatives".
Invitée de la matinale de BFMTV ce mardi 24 mai, Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétique, s'est exprimée sur l'affaire Damien Abad. Comme la Première ministre Élisabeth Borne, l'interviewée a rappelé la présomption d'innocence dont bénéficie l'accusé. Tenir le discours officiel. La ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher, était ce mardi 24 mai l'invitée d' Amandine Atalaya, remplaçante d'Apolline de Malherbe, dans la matinale de BFMTV. Venue parler de ses objectifs au cours du second mandat d'Emmanuel Macron, la responsable politique, féministe revendiquée, a également dû s'exprimer sur l'affaire Damien Abad – nouveau ministre des Solidarités accusé de viols – qui perturbe les débuts du gouvernement d'Élisabeth Borne. Les discours du Maire – AURIGNAC. En tenant le même discours que ses collègues interrogés sur le sujet, Agnès Pannier-Runacher a rappelé l'importance de laisser la justice – si elle venait à être saisie – faire son travail. "Il faut libérer la parole des victimes mais ce n'est ni vous ni moi qui pouvons juger ce type de situation.