Nba - Les 10 Plus Grands Moments De Tony Parker À San Antonio
+9 TimDuncan green#5 Leraou Abraracourcix Mike Bibby JOneal L' Freak Diesel-Shaq J-Kid 13 participants Auteur Message J-Kid Rookie NCAA Date d'inscription: 17/11/2006 Messages: 834 Age: 31 Localisation: Tournai Diesel-Shaq Minime Date d'inscription: 17/01/2007 Messages: 322 Age: 114 Localisation: devan mon PC Emplois: sans Fan des: basket Sujet: Re: Tony Parker dunk???? Jeu 1 Fév - 19:05 oui smash de TP mais pas trop spectaculaire lol L' Freak Minime Date d'inscription: 28/12/2006 Messages: 340 Age: 32 Localisation: strasbourg Sujet: Re: Tony Parker dunk???? Jeu 1 Fév - 19:46 un de ces bidons!! hihi _________________ Diesel-Shaq Minime Date d'inscription: 17/01/2007 Messages: 322 Age: 114 Localisation: devan mon PC Emplois: sans Fan des: basket Sujet: Re: Tony Parker dunk???? Jeu 1 Fév - 20:02 oui c clér et je c meme aps si il a été accepté je pensse que larbitre a sifflé avant JOneal MVP Date d'inscription: 12/01/2007 Messages: 9059 Age: 35 Localisation: Cavem@n Wrecka!! Emplois: BoI Cavem@n Wrecka!!
Tony Parker Premier Dunk Sb
Qu'importe. Après une chevauchée, des chutes, des hésitations, des changements direction et des handles, TP feinte le King et bat le buzzer. Son cri retentit jusqu'au Texas. San Antonio gagne le premier match des finales. 3. In your face, King (2013) Un peu plus loin dans cette même série, les Spurs disputent un Game 7 intenable en Floride. Avec 1 minute 30 à jouer et 3 points de retard (86-89), TP défie LeBron James en un un-contre-un. Il feinte le drive, step back à trois points et envoie un swish en déséquilibre pour égaliser. On connait certes tous l'issue de cette finale, mais cette possession est à elle seule un symbole de l'exceptionnel pedigree clutch du Français. 4. Du sang glacé dans les veines (2012) Les Spurs débutent leur saison 2012-2013 face au Thunder de Durant et Westbrook, tout juste auréolés d'un titre de champions de la conférence. Mais dès ce 1er novembre, Tony Parker a un message. Sur la dernière possession du match, il sort derrière un écran et swish un jumper sur la tête de Serge Ibaka au buzzer.
Au final, écouter le rap de Tony Parker revient à feuilleter les pages Sport des catalogues de vêtements, et tomber sur ces photos de mannequins aux allures coincées et aux brushings impeccables qui miment des séquences de jeu, un sourire figé aux lèvres et un ballon flambant neuf entre les mains: on n'y croit pas une seule seconde. Star du sport incontestable mais rappeur de salle de bain, Tony Parker réalise avec cet album un rêve d'adolescent, avec du gros son, du featuring et du clip flashy: tout l'attirail d'un rap fantasmé à travers le prisme d'un écran plat. Pas étonnant d'ailleurs que sans la musique, TP dise se sentir « comme un Hummer sans jante », tant le rap qu'il propose ne semble être qu'une accumulation d'images clinquantes vues à la télé. Bien sûr, il est presque trop facile de descendre en flammes un tel ratage, mais Tony Parker n'en demeure pas moins un rappeur médiocre qui, fort du succès commercial rencontré par cet album, n'est malheureusement pas prêt de sortir de son monde imaginaire.