Casque Anti Émeute C
Casque Anti Émeute D
Sur les deux comparutions immédiates au rôle du tribunal correctionnel de Limoges ce lundi 25 avril, les deux concernaient des violences sur des "personnes dépositaires de l'autorité publique": un gendarme de Saint-Junien et une policière de Limoges. Les deux victimes ont fait le déplacement pour assister au procès des personnes qui les ont agressées. Casque et bouclier anti-émeute pour faire la fouille Dans la première affaire, un homme de 41 ans venait de provoquer un accident matériel de la circulation à Saint-Junien, jeudi soir vers 20 h 30. Les gendarmes arrivent sur place et voyant l'état d'agressivité de l'individu, visiblement en état d'ivresse, décide d'appeler du renfort. Casque anti émeute la. L'officier de police judiciaire (OPJ) et deux autres gendarmes arrivent sur place et subissent à leur tour une logorrhée d'insultes qui vire à la menace de mort quand l'OPJ lui explique qu'il va procéder à la fouille. « Bouffon, pisseur, sale baltringue, petite pu**, grosse merde, je te fume, je vais te tuer, je t'arrache la tête », sont entre autres, les propos tenus par l'interpellé.
Casque Anti Émeute La
L'armée israélienne y avait lancé une opération pour appréhender des Palestiniens recherchés. Vendredi, lors d'un nouveau raid, elle a pilonné une maison et blessé par balle à l'abdomen un Palestinien lors de heurts, d'après Wafa. Un autre Palestinien a été blessé par balle près de Ramallah lors d'un autre incident, selon l'armée israélienne. Casque anti émeute coronavirus. Il avait lancé une brique vers une voiture et tenter d'entrer à l'intérieur. Al Jazeera a accusé les forces israéliennes d'avoir tué "de façon délibérée" Shireen Abu Akleh, sa journaliste vedette qui portait un gilet pare-balles siglé "presse" et un casque de reportage. L'origine du tir mortel n'a pas été identifiée Israël, après avoir dit qu'elle avait "probablement" succombé à un tir palestinien, a affirmé ne pas écarter que la balle ait été tirée par ses soldats. Vendredi, l'armée israélienne a finalement indiqué qu'il n'était pas possible de déterminer dans l'immédiat l'origine du tir ayant tué la journaliste. "L'enquête montre qu'il y a deux possibilités pour l'origine du tir l'ayant tuée", selon l'armée.