Maison De La Mobilité Labège Toulouse — Mordue De Théâtre
Les représentants de Tisséo et du Sicoval ont inauguré la nouvelle Station V à proximité de la halte SNCF Labège-Innopole. Evolution de la Maison de la mobilité de Labège, elle vise à promouvoir les déplacements domicile-travail à vélo. L'inauguration de la Station V a eu lieu ce mercredi 16 septembre ©Tisséo Située à proximité de la halte SCNF Labège-Innopole, la Station V cible les déplacements à vélo du quotidien, notamment pour les déplacements domicile-travail. Les services proposés s'adressent ainsi en priorité aux employeurs et salariés des zones économiques de l'Est Toulousain, sur les territoires de Toulouse Métropole et du Sicoval: Labège-Enova, Parc Technologique du Canal, Agrobiopôle, secteur de Montaudran et campus de Rangueil. Les services proposés à la Station V · Location de vélos adaptés à tous les besoins: vélos de ville Tisséo, vélos pliables et vélos à assistance électrique (VAE). · Services et animations autour du vélo: découverte d'itinéraires cyclables, conduite du vélo en ville, ateliers de réparation et d'auto-réparation, conseils à la location ou à l'achat de vélos classiques ou à assistance électrique, marquage Bicycode.
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- Émergence – Mordue de Théâtre : blog de critiques théâtrales
- Et Tartuffe ? – Mordue de Théâtre : blog de critiques théâtrales
- Biographie : un beau jeu de rôle – Mordue de Théâtre : blog de critiques théâtrales
Maison De La Mobilité Labège 1
Un panel de services pour répondre aux nouveaux besoins de mobilité Les services proposés sur les zones économiques de Labège-Enova, Parc Technologique du Canal, secteur de Montaudran, seront les suivants: Louer les vélos classiques Tisséo et, en complément, proposer une offre de location vélo adaptée à une proposition de « remise en selle » pour les salariés mais également pour les entreprises (logique de flotte de vélos d'entreprise). Développer des services et animations autour du vélo: promotion du mode vélo, découverte et repérage d'itinéraires, conduite du vélo en milieu urbain, ateliers de réparations et d'autoréparation, conseil à la location ou à l'achat de vélos classiques ou à assistance électrique, marquage Bicycode. Proposer un lieu convivial d'échanges informels des différents acteurs sur la question des mobilités actives. Promouvoir l'usage du vélo dans le cadre de l'accompagnement des entreprises en démarche de plans de mobilité employeur. Proposer des articles et produits liés à la sécurité routière, à l'entretien des vélos et à l'équipement des cyclistes.
Maison De La Mobilité Labège Innopole
Pour compléter la desserte en transports en commun de Labège Enova par des solutions d'écomobilité, et plus particulièrement favoriser l'usage du vélo pour les déplacements courts, le Sicoval ouvre la Maison des Mobilités Cyclables le 2 juin à Labège. Ce lieu proposera un panel de services autour de la pratique du vélo (locations en partenariat avec Tisséo, ateliers et animations, échanges et informations) sur les zones économiques de Labège-Enova, le Parc Technologique du Canal, et le secteur de Montaudran. Retrouvez le détail des différents services et le tarif de location des vélos sur: La Maison des Mobilités Cyclables 61 Rue Pierre et Marie Curie – Labège (à 200m de la halte SNCF Labège-Innopole) Horaires d'ouverture: Lundi, mardi, jeudi et vendredi: de 8h00 à 18h30. Téléphone: 05. 61. 75. 80. 80 Email: Site:
Maison De La Mobilité Labège Occasion
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Maison De La Mobilité Labège Canada
Les techniciens cycles y proposent la vérification des points de sécurité et un petit entretien des vélos (freins, vitesses et pneus) contre une participation de 5 euros. > Les prochains ateliers se dérouleront les mardis 10 avril, 29 mai et 26 juin 2018: consultez notre agenda Comment s'y rendre? En bus, avec les lignes 79 et 109 (arrêt Tolosane) et 80 (arrêt Lalande) En TER ligne Toulouse-Carcassonne (halte SNCF de Labège-Innopole) En car interurbain, ligne 86 du réseau Arc-en-Ciel (arrêt Lalande) Adresse: 61 Rue Pierre et Marie Curie - Labège (à 200m de la halte SNCF Labège-Innopole) - Tél. : 05 61 75 80 80 - Courriel:
Contacts: Téléphone: 05. 61. 75. 80. 80
J'avais la chance de découvrir le texte, avançant à l'aveuglette avec les personnages dans leur recherche de la scène à changer. On cherche à deviner, avec eux, quel mot aura quelle conséquence, quelle est l'intonation qui sera déterminante pour la suite. C'est un terrain de jeu infini pour les comédiens, où tout se joue dans la nuance, et où les personnages se livrent, petit à petit, malgré eux, à travers leurs actes, leurs paroles, leurs introspections. C'est un travail d'une infinie cohérence. Pour faire sortir la substantifique moelle de la pièce, il faut s'appuyer entièrement sur la compréhension intérieure du texte. Mordue de théâtre. Et c'est ce que Frédéric Belier-Garcia semble avoir fait, s'appuyant intégralement sur la parfaite traduction de Bernard Lortholary. Tout part des mots, de ce qui se dit, de se qui s'échange. Les personnages se dessinent petit à petit, prennent une consistance, se révèlent à eux-même et au monde à travers leur partition et leur regard sur leurs actions passées. Les comédiens excellent dans cet exercice.
À Feins, La Compagnie De Théâtre Ocus Crée Un Spectacle Avec Les Habitants
Tous l'entendent, tous ont leur propre manière de composer avec. Quand j'ai appris que la pièce parlait des violences faites aux femmes, j'avoue avoir un peu grimacé. Des spectacles engagés sur la condition féminine, j'en ai vu, recoupant souvent les mêmes tares d'un texte à l'autre, oubliant le théâtre au profit d'une espèce de moralisme lourd et souvent mal amené. Alors quelle ne fut pas ma surprise lorsque je me suis retrouvée face à un spectacle purement théâtral. Le théâtre est partout, il est à la base de l'écriture, et c'est de lui que naît le sujet dont on veut parler, aussi engagé soit-il, et non l'inverse! Biographie : un beau jeu de rôle – Mordue de Théâtre : blog de critiques théâtrales. Pour un premier texte, c'est déjà la marque d'une grande maturité. Le coup de maître, c'est d'avoir abordé ce sujet de manière indirecte. Il s'agit avant tout d'une histoire qu'on nous raconte: l'histoire de ces quatre personnages qui vivent dans cet immeuble. Et tout se met en place progressivement, naturellement. On évoque les violences faites aux femmes à travers ce que les cris de la voisine provoquent chez chacun des personnages, sans non plus braquer les projecteurs sur elle et chercher à tirer les larmes.
Émergence – Mordue De Théâtre : Blog De Critiques Théâtrales
Jérôme Kircher est un meneur idéal, légèrement inquiétant, toujours fascinant, proposant un jeu légèrement décalé par rapport au reste de la distribution qui donne soudain l'impression qu'il ne vient pas du même monde que les autres. Ses assistants, incarnés par Ana Blagojevic et Ferdinand Régent-Chappey, sont eux aussi redoutables de malice et amènent une dose d'humour bienvenue quand le jeu tourne au cauchemar. Isabelle Carré et José Garcia forment une très beau duo, la présence de la première contrastant avec la fragilité du second. Émergence – Mordue de Théâtre : blog de critiques théâtrales. Ce couple-là, on y croit, c'est dans la chair que ça se passe. Entrer dans ce jeu, c'est entrer dans un cerveau qui sans cesse fait et refait ce qu'il a vu, et vécu. Et prendre le risque de jouer, à son tour, à la sortie. ♥ ♥ ♥
Et Tartuffe ? – Mordue De Théâtre : Blog De Critiques Théâtrales
Arrivées à la dernière minute, on s'est assises à la première rangée. Quinze minutes plus tard, Marco Poulin était flambant nu juste devant nous. Et ma mère de me dire: "C'est ça le genre de pièce qu'on vous envoie voir au cégep?! "» L'anecdote fait encore jaser dans la famille de nombreuses années plus tard. Et Tartuffe ? – Mordue de Théâtre : blog de critiques théâtrales. Heureusement, Sylvie ne s'est pas arrêtée à ça. Certes, il lui a fallu retenter l'expérience plusieurs fois avant de connaître le vrai coup de foudre, mais depuis, c'est l'amour fou. Du regretté café-théâtre des Oiseaux de passage dans Limoilou jusqu'au Théâtre du Trident en passant par La Bordée, les salles de Québec n'ont plus de secret pour elle. Elle avoue cependant un faible pour le Périscope. Parce qu'elle aime les espaces qui se transforment au gré des créations, la proximité avec les comédiens, mais aussi parce qu'elle y a vécu une de ses plus belles expériences: L'Inoublié ou Marcel Pomme-dans-l'eau: un récit-fleuve de Marcel Pomerlo. «Ce spectacle résonnait tellement fort pour moi que je suis sortie de là en pleurant.
Biographie : Un Beau Jeu De Rôle – Mordue De Théâtre : Blog De Critiques Théâtrales
Critique du Tartuffe, reconstruction d'après Molière, vu le 15 janvier 2022 à la Comédie-Française Avec Claude Mathieu, Denis Podalydès, Loïc Corbery, Christophe Montenez, Dominique Blanc, Julien Frison, Marina Hands et les comédiennes et comédiens de l'Académie de la Comédie-Française Vianney Arcel, Robin Azéma, Jérémy Berthoud, Héloïse Cholley, Fanny Jouffroy, et Emma Laristan Joyeux anniversaire Molière! Pour fêter les 400 ans du plus connu des dramaturges français, les mises en scène de ses spectacles se multiplient depuis septembre dernier. C'est le moment de montrer que Molière n'a pas pris une ride ou au contraire de lui enlever toute cette poussière qu'il a sur le dos, et c'est surtout le moment pour certains de montrer leur vision novatrice et transgressive de ces pièces dont on pensait avoir tout tiré et qui pour Ivo Van Hove, par exemple, ne semblent pas avoir jusque-là révélé leurs secrets les plus intimes. On aurait sans doute préféré plus bel anniversaire pour le Patron, mais bon, après des siècles de visions plus ou moins extravagantes de ses pièces, il doit avoir l'habitude, et on ne doute pas que notre cher Molière s'en remettra!
Les lumières de Aurélien Guettard favorisent ces différentes perspectives. Ce qui m'a particulièrement marquée, dans les lumières de ce spectacle, ce sont les noirs. J'en ai vu des noirs au théâtre. J'ai du mal à comprendre pourquoi ceux-ci se distinguent tant. Ce sont des noirs qui enferment, des noirs qui englobent tout, comme lorsqu'on s'endort, de ces noirs progressifs qui créent le néant autour de nous. Ils ont quelque chose d'effrayant et de réconfortant à la fois, car dans le noir plus rien n'existe, ni espoir ni désespoir. Ces noirs-là sont un reflet lumineux tout à fait réussi des non-dits qui façonnent notre histoire. Ces différents éléments forment un tout globalement réussi, et pourtant, un léger ennui pointe parfois le bout de son nez. Le temps se fait un peu long lors de certaines scènes. C'est étrange, car c'est lorsqu'il ne se passe rien, lorsqu'on joue aux devinettes, lorsque tout est dans l'implicite qu'on est finalement le plus happé. Ce combat de sentiments, d'émotions, de souvenirs et de ce qu'on en fait, c'est complètement prenant.
D'un côté, on laisse une place à l'espoir; de l'autre, on s'est promis de ne plus jamais croire quiconque se ferait passer pour elle. Ça m'arrive rarement, mais j'ai jeté un coup d'oeil à la bible avant le début du spectacle. J'y ai lu que « Le père est un anti-héros dont la partition sera plus ressentie qu'entendue », faisant monter en moi une certaine appréhension, voire un petit rire condescendant. Le personnage qui ne dit rien mais qui exprime tout, c'est une théorie que je connais bien, mais dans la pratique ça devient rapidement plus compliqué. J'avais tout faux. Le non-dit, le ressenti, l'implicite, c'est ce qui fonctionne le mieux dans ce spectacle. Pour Philippe Torreton, tout particulièrement, c'est l'évidence. C'est vrai qu'il a une partition réduite, et c'est pourtant lors de ses scènes qu'on a l'impression d'engranger le plus d'informations et d'émotions, en tant que spectateur. Il respire le texte qu'il ne dit pas. Ses partenaires ne sont pas en reste. Anne Brochet se cache derrière un flot de paroles et un visage glacé.